Pour tomber amoureux buvez ceci

Mémoires d’une femme du vin

Alice Feiring

Traduction de Géraldine Chognard

Date de parution : 12 mai 2023

256 pages / ISBN 978-2-490698-71-4


Résumé

A travers un grand écart d'histoires vécues – comment elle a failli devenir l'assistante de Nina Simone en voulant lui offrir un vouvray, comment elle a fait office de plombier des vins auprès d'un plombier malheureux en amour, comment elle s'est retrouvée à devoir choisir une bouteille pour Björk, comment l'un des plus tristement célèbres tueurs en série des États-Unis l'a approchée ; à travers ses nombreux voyages aussi, en Italie, en Géorgie, au Mexique ou au Chili ; et encore l’Histoire, la grande, à l'ombre de Staline, Pinochet ou Auschwitz... Sans oublier, enfin, une belle histoire d'amour – Alice Feiring nous entraîne avec douceur dans le sillage savoureux de ses souvenirs, pétillants et touchants comme un champagne bonifié par l'âge, le tout saupoudré de conseils en vin ultra-avisés.

Mais avec ce livre, le huitième (et rien moins que son meilleur d'après le New York Times), Alice Feiring nous offre surtout un grand récit de transmission, autant sur la vie que sur le vin, liant l'intime à l'universel avec une évidence toute naturelle. Car, « plus que toute autre forme d’art, le vin et la vigne sont liés au bonheur et au chagrin, à la famille, à la nature, à la tentative de contrôler l’incontrôlable, comme en amour ». 


L’autrice

Alice Feiring signe régulièrement des chroniques autour du vin dans le New York Times, le LA Times ou encore Time Magazine. Elle est l’autrice de plusieurs ouvrages majeurs sur le vin, dont Skin Contact (Nouriturfu, 2017) ou La Bataille du vin et de l’amour (éditions Jean-Paul Rocher, 2010). Elle est aussi la récipiendaire du « James Beard Award », la plus prestigieuse récompense pour les personnalités du monde de la gastronomie, ainsi que du prix « Best Wine Book of the Year » des Gourmand Awards en 2017 pour Skin Contact


Presse

’L’ écriture, éblouissante, nous rappelle à quel point Alice Feiring a inventé une langue, et qu’elle a donné au vin sa grammaire littéraire. (…) En refermant le livre, c’est d’Alice Feiring dont nous sommes amoureux, d’autant plus que chaque chapitre se clôt sur une liste de domaines qui donnent de la «matière à penser» et, bien sûr, à aimer.”

Libération

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